De L’Avantage du doute
Dans une ambiance de cabaret, les artistes emploient le rire pour mieux nous parler de la mort.
C’est la nuit… Des figures fantasmagoriques font irruption sur scène et nous invitent à leur fête. Vêtus d’habits de lumière, Betty, une jeune actrice fan de Shakespeare, le fantôme de la philosophe Hannah Arendt, et la Mort en personne, en plein burnout, viennent nous exhorter à vivre intensément. Dans une ambiance de cabaret, les artistes emploient le rire pour mieux nous parler de la mort. Ils vont et viennent dans un décor qui change en permanence, peuplé de revenants qui surgissent çà et là, sur une musique live où les chansons paillardes succèdent à Paul McCartney. Après Encore plus, partout, tout le temps, l’irrésistible collectif L’Avantage du doute revient mettre les pieds dans le plat pour frapper les esprits.