de Juliette Navis
Laure Mathis livre un show burlesque à l’énergie phénoménale, tout en malice et folie douce.
Après J.C. interrogeant notre rapport à l’argent, c’est au tour d’une certaine Céline en justaucorps pailleté, et à l’accent québécois de s’emparer de la scène pour évoquer notre refus de la mort. C’est un peu Céline Dion, sans être totalement elle. Dans sa conquête du show-business, la conteuse au verbe chaloupé passe d’une idée à l’autre en une fraction de seconde. Elle se questionne sur l’accélération du monde, elle rêve de retour à la terre et d’un environnement préservé.